Relation de bon voisinage
C'est mon voisin. Çà fait parti de mes principes: ne pas coucher avec les professeurs, les patrons, les prêtres et les voisins.
Quand tu couches avec ton voisin c'est devient compliqué, les autres vous regardent comme des bêtes, ils épient vos mouvements et moi je veux rester discrète. Je veux pas étaler ma vie en public.
Mais il est si sexy. Et sans que je m'en rende compte, je me suis retrouvée à quatres pattes sur le tapis entrain d'être culbutée mon voisin canon. Le pire c'est que je n'éprouve aucun regret. C'était trop bon. Laissez moi vous raconter.
Comme plusieurs autres soirs avant, il est venu chez moi. Nous avons discuté, regardé la télé, rigolé. Je n'avais qu'un débardeur et un pagne noué autour des hanches. Nous étions assis par terre côte à côte et il a commencé à me caressé la cheville, tout doucement, comme pour me demander la permission de continuer. Je ne l'ai pas arrêté alors il a continué. De ma cheville, il est remonté doucement jusqu'à ma cuisse, puis a commencé à me caresser doucement le clitoris à travers mon string.
Je n'arrêtais pas de le regarder. Dans ma tête sa cogitait: « qu'est ce que tu fais? », « arrêtes-le ». Ma tête voulait réagir mais mon corps n'écoutait plus. Ensuite il m'a carrément embrassé. Brutalement, fougueusement. Là j'ai vraiment senti à quel point il me désirait, à quel point il avait envie de moi. Il me le disait souvent, mais là...
D'un geste brusque il a arraché sa chemise. Son torse couvert de duvet m'a toujours fait de l'effet. Son membre était royalement dréssé dans son pantalon. Il m'a déshabillé en un tour de main et confortablement installée sur le tapis avec un oreillé sous la tête. Il m'a écarté les cuisses et s'est mit à me lêcher doucement. Holala! Je ne savais plus quoi faire de mon corps tellement il était transe. Je sentais que je mouillais et lui qui avalait goulument.
Je me suis ensuite agenouillée devant lui, j'ai entrepris de dégraffer son pantalon, son sexe était vraiment énorme, j'arrivais à peine à le tenir d'une main. J'en avais jamais vu d'aussi gros. Mais j'avais hâte de le mettre dans ma bouche. Il était vraiment énorme et je le suçait avec délice. Il s'enfonçait loin dans ma gorge et mon partenaire adorait çà. Il poussait des petits cris de plaisir et je continuais jusqu'à m'étouffer.
Ensuite n'y tenant plus, il me jetta à quatres pattes et d'un coup sec et brutal qui m'arracha un cri de douleur mêlé de plaisir, il m'enfonça sa grosse bite dans le ventre. Waouh! C'était... FABULEUX! J'avais tout oublié y compris le fait que les autres voisins pouvaient m'entendre. Il entrait et sortait vite, très vite. J'étais cambrée, les fesses écartées, totalement offertes. Je transpirais de partout et la sueur de mon partenaire me tombait sur les fesses et le dos.
Ensuite il me souleva et me ramena vers la fenêtre là où tout le monde pouvait nous voir. Çà l'excitait et bizarrement moi aussi. Nous étions debout face à la fenêtre et il n'arrêta pas d'aller et venir en moi. J'avais le vagin en feu et j'avais déjà joui au moins deux fois. Je pris à nouveau ce gros sexe dans ma bouche. Il m'attrapa par les cheveux et se mit littéralement à me baiser par la bouche. Je n'arrivais plus à bouger. Il allait de plus en plus vite. Je sentais que çà venait et qu'il allait jouir dans ma bouche.
Il poussa un cris et je sentis ce liquide chaud et visqueux dans ma bouche. Comme il ne se retirait toujours pas, je n'eu pas d'autre choix que de tout avaler. Je ne l'avais jamais fait, mais toute cette sauvagerie...c'était bon, très bon.
Je venais d'être baisée comme une chienne et je n'avais aucun regret.